Chemin des Mines

Evoque les galeries des anciennes fortifications
Militaire
Description

Sur le plan Mayer de 1788, ce terrain porte le nom de «Champ de la Mine» que l'on retrouve dans plusieurs actes et de nouveau sur le plan français de 1812.

A cet emplacement des fortifications de la banlieue de Cornavin, on a retrouvé un souterrain, datant sans doute de la fin du XVIIIe siècle, car ce nom de «mine» le désigne implicitement, non pas que ce soit effectivement une mine, mais parce que ces sortes de galeries étaient souvent chez nous qualifiées ainsi.

Définition de l'Arrêté du Conseil d'État
Avenue BLANC / sans issue
Anecdote(s)
  • Une contribution sur le présent wiki collaboratif propose une autre version quant à la dénomination de cette voie. En effet, Monsieur Eugène Fayolle, 1864-1930, originaire de La Motte d'Aveillans en Isère, était directeur des mines de charbon de La Mure (38) et aurait été nommé représentant des mines de charbon de La Mure pour la Suisse et serait venu s'installer à Genève. Son bureau était dans un petit chemin sans nom qu'il aurait baptisé avec le facteur de​ Sécheron et le maire en nommant cet endroit chemin des mines vu qu'il était directeur des mines.
    Contribution 20180123
  • En relation avec l'anecdote précédente, la "Compagnie des mines d'anthracite de La Mure" (créée en 1856) dispose d’un bâtiment nord du site industriel de Sécheron, visible sur une photographie de 1925 avec le nom de la compagnie en grandes lettres sur le toit et Les Ateliers de Sécheron ont travaillé pour la ligne de chemin de fer de Saint-Georges-de-Commiers à La Mure en Isère.
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Site_industriel_de_Sécheron
    Contribution 20200921